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Contes du monde

6 mars 2009

Contes de l’Ouest Américain - Les aventures de Pecos Bill

contesamericainspecosbillLes héros de ce livre ont fait l'Ouest Américain et ce ne sont pas des enfants de choeurs mais des hors-la-loi, des cow-boy et des chercheurs d'or. De grands costaud qui mentent comme ils respirent, il suffit d'écouter Davy Crockett raconter comment il a décoincé la terre bloquée sur son axe et le soleil gelé sur ses roues pour être fixé. Du Grand Canyon au Mississipi, des forêts de Nord à Chicago, soyez sur vos gardes, car si vous ne savez pas vous servir d'un colt, Jesse James ou Pecos Bill n'auront pas de pitié pour vous. Mais vous aurez peut-être la chance de croiser des êtres merveilleux et pacifiques comme ce Johnny pépin de pomme qui voulait faire du Middle West un verger de pommiers ou Slappy Hooper, le plus grand, le plus rapide, le plus génial peintre de panneaux d'affichage du monde…

http://glowmoonlight.unblog.fr/2007/11/17/contes-de-louest-americain-les-aventures-de-pecos-bill/

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6 mars 2009

Le Coq prend la mouche. Contes afro-américains

Le Coq prend la mouche. Contes afro-américains

AUTEUR : Leigh Sauerwein -  - 
ILLUSTRATIONS : Arthur Robins -
EDITEUR : Ecole des Loisirs
COLLECTION : Mouche
1997

9782211036665


Coup de cœur pour ce livre qui réunit plusieurs contes dont les personnages sont souvent des animaux. Voici le résumé de l'un d'entre eux :

Le seigneur créa Adam et Eve et leur donna la même force. Comme Eve faisait faire les gros travaux à Adam, celui-ci se mit en colère et alla se plaindre au seigneur qui le rendit plus fort qu'elle. Adam jeta Eve au travers du lit et lui donna une énorme fessée. Alors Eve changea de tactique… Les illustrations sont très drôles, les phrases bien construites et amusantes. Toutes les histoires nous accrochent et donnent envie de connaître la fin. On peut retenir de ces contes que le culot est souvent la meilleure arme dont on dispose dans la vie.
Apolline, 9 ans.
Club Jeunes Lecteur d'Aulnay sous Bois

http://www.ricochet-jeunes.org/parudet.asp?livrid=16044

6 mars 2009

Lec contes africains

L'union fait la force : ( conte africain ) pas d'auteur

Voici ce que j'ai vu :
Ce n'est pas aujourd'hui que le monde a commencé,
ce n'est pas aujourd'hui qu'il va finir.
Il y avait un vieux avec ses fils.
Il avait dix fils.Burkina
Il prit dix brindilles et les attacha ensemble.
Il donna ces brindilles à l'un de ses fils,
il lui dit "Brise-les".
Le fils ne put les briser.
Alors il sépara les brindilles,
il en donna une à chacun.
Chacun put briser sa brindille.
Alors le vieux leur dit :
"Si vous êtes séparés,
vous voyer qu'on peut vous briser,
mais si vous êtes unis,
personne ne pourra rien contre vous".
C'est cela que j'ai vu.

http://www.solidarite-en-action.com/contes.htm#lievre

6 mars 2009

les conteurs Français

contes_de_perraultCharles Perrault, né le 12 janvier 1628 à Paris où il est mort le 16 mai 1703, est un homme de lettres français, resté célèbre pour ses Contes de ma mère l’Oye.

En 1691, Perrault publie une « nouvelle » en vers :

En 1693, il publie un premier « conte en vers » dans le Mercure galant :

En 1694, il réunit dans une même édition les deux œuvres précédentes et y ajoute une troisième histoire :

En 1696 paraît dans le Mercure galant un conte en prose : La Belle au bois dormant. L’année suivante, sort de chez Claude Barbin un volume intitulé Histoires ou Contes du temps passé avec des moralités (1697). Ce volume contient les huit contes suivants :

La paternité des Contes

Il fait paraître son recueil sous le nom de son troisième fils, Pierre Darmancour, ou d’Armancour, Armancour étant le nom du domaine que Charles vient d’acquérir et d’offrir à Pierre. Ce dernier, né en 1678[2], aspirait à devenir secrétaire de « Mademoiselle », nièce de Louis XIV, à qui est dédicacé l’ouvrage.

De plus, Perrault voulait éviter une nouvelle polémique entre Anciens et Modernes (il était le chef de file de ces derniers) avec la publication de ses Contes. Il s’était réconcilié avec Boileau en 1694. Le nom de son fils lui a donc été d’une grande aide pour éviter la reprise de la querelle.

Le chef-d’œuvre de Perrault

En 1683, Perrault, ayant perdu à la fois son poste à l’Académie et sa femme, décide de se consacrer à l’éducation de ses enfants et écrit les Contes de ma mère l’Oye (1678).

Le genre des contes de fées est à la mode dans les salons mondains : les membres de la haute société assistent aux veillées populaires et prennent note des histoires qui s’y racontent. Son recueil intitulé Contes de ma mère l’Oye, où les contes sont à la fois d’inspiration orale (la « Mère l’Oye » désigne la nourrice qui raconte des histoires aux enfants) et littéraire (Boccace avait déjà écrit une première version de Griselidis dans le Décaméron). Le travail que Perrault opère sur cette matière déjà existante, c’est qu’il les moralise et en fait des outils « à l'enseignement des jeunes enfants ». Ainsi, il rajoute des moralités à la fin de chaque conte, signalant quelles valeurs il illustre.

Marc Soriano dit de Perrault qu’il est « le plus méconnu des classiques » : tout le monde connaît ses contes, mais très peu connaissent sa version des contes : ainsi, chez Perrault, le petit chaperon rouge et sa grand-mère finissent mangées par le loup : la version postérieure où le chasseur les sort du ventre est de Grimm. De même, c’est dans Disney que le baiser du prince réveille la Belle au Bois Dormant : chez Perrault, elle se réveille toute seule. Et la postérité a préféré ne garder que ce que Perrault appelait le « conte tout sec », c’est-à-dire le conte de fée, en oubliant les moralités...

Autres œuvres

  • Le Siècle de Louis le grand
  • Parallèle des anciens et des modernes en ce qui regarde les arts et les sciences. Dialogues avec le poème du siècle de Louis-le-Grand et une épitre en vers sur le génie (1688)
  • L’Énéïde burlesque (1648)
  • Les Murs de Troyes, ou L’origine du burlesque (1649)
  • Dialogue de l’amour et de l’amitié (1660).
  • Le Miroir, ou la Métamorphose d’Orante (1661)
  • Le Labyrinthe de Versailles (1670). Prose de Charles Perrault, vers d’Isaac de Benserade.
  • Saint Paulin, évesque de Nole, poème, avec une epistre chrestienne sur la pénitence, et une ode aux nouveaux-convertis (1686). Saint Paulin est pour Perrault l’occasion d’expliquer et de mettre en pratique une idée qu’il considère comme essentielle : la nécessité pour la France d’élaborer un art de type nouveau, un art chrétien qui sera nécessairement supérieur à l’art barbare de la civilisation païenne.
  • La Chasse. À monsieur de Rosières. Paris, Coignard, 1692, in-12. Épître en vers de 32 pages.
  • Les Hommes illustres qui ont paru en France pendant ce siècle, avec leurs portraits au naturel (2 volumes, 1696-1700)
  • Contes de ma mère l’Oye, ou Histoires ou contes du temps passé avec des moralités (1697).
  • Mémoires de ma vie. Voyage à Bordeaux (1709)
  • Mémoires sur sa vie, en quatre livres depuis sa naissance jusqu’en 1687 (Paris, 1826, in-8).
  • Courses de têtes et de bagues, faites par le roi et par les princes et seigneurs de sa cour (Paris, 1670, in-fol.)
  • Recueil de divers ouvrages en prose et en vers (Paris, 1675, in-4)
  • Saint Paulin, évêque de Nole, poème (Paris, 1686, in-4)
  • Poème de la peinture
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